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Balades

Balade à la Madone d'Utelle durée dépend du depard.

Balade à la Madone d'Utelle  durée dépend du depard.

Le sanctuaire de la Madone d’Utelle fut fondé en l’an 850. Trois pèlerinages annuels s’y déroulent au départ de La Tour-sur-Tinée (Pentecôte), d’Utelle (15 août) et du Figaret d’Utelle (8 septembre).

La légende rapporte que deux (ou trois) navigateurs espagnols (ou portugais) perdus dans la tempête au large de Nice aperçurent une lumière surnaturelle qui les dirigea vers la Côte. Ils installèrent un oratoire au sommet de la montagne salvatrice, lequel fut détruit, puis reconstruit en 1806 sous forme de chapelle et restauré au milieu du XXe siècle, une route goudronnée permettant l’accès en voiture depuis 1936.

Au-delà de l’intérêt historique, la traversée des olivaies et des anciennes campagnes, puis la rencontre des troupeaux d’ovins qui hivernent dans cette zone apportent une connotation agro-pastorale au parcours.

Balade à Rocca Sparvièra environ 3h30 aller et retour.

Balade à Rocca Sparvièra environ 3h30 aller et retour.

Hameau fantôme aux murailles en lambeaux, Rocca Sparvièra évoque plus une lamaserie du Tibet qu’un village des Alpes-Maritimes. Littéralement “rocher des éperviers”, ce site perché à 1 100 m d’altitude surplombe la vallée du Paillon à l’Est, les gorges de la Vésubie à l’Ouest ainsi que l’échancrure abrupte du col Saint-Michel au Sud : c’est dire la maîtrise absolue des voies de passage qu’il permettait dans les temps médiévaux si troublés.

Découvrir pas à pas les ruines de ce hameau fortifié, c’est un peu remonter le fil d’une histoire qui reporterait le visiteur plusieurs siècles en arrière, au début du second millénaire.

On aura quelque difficulté à imaginer qu’à son apogée, Rocca Sparvièra compta jusqu’à 350 habitants, la communauté étant dotée d’une administration, d’une seigneurie, d’un notaire, d’un curé... 

Balade à l’ancien village abandonné d’Allauch environ 3h30 aller et retour

Balade à l’ancien village abandonné d’Allauch environ 3h30 aller et retour

Pendant des siècles les communications entre les villages, les hameaux et les campagnes cultivées de l’arrière-pays niçois se sont faites principalement à pied avec l’aide d’ânes, de chevaux de travail ou de boeufs. Les anciens ont cherché les parcours naturels les plus faciles ce qui n’est pas évident dans nos montagnes. En vous promenant vous rencontrerez assez souvent des portions de chemins empierrés, des marches creusées dans la roche, des caniveaux pour canaliser les pluies parfois violentes et des ponts de pierres pour franchir des gorges infranchissables autrement.

Tous ces chemins, moins nécessaires aujourd’hui, ont été répertoriés, balisés (en jaune ou en rouge et blanc), cartographiés et sont soigneusement entretenus tous les ans pour notre plus grand plaisir de randonneur. 

 
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